Comme toutes les montagnes de Corée, elle n’est pas très haute avec seulement 739m, mais ça monte raide ! Il y a quelques passages ou il faut faire un peu de légère escalade, mais il y a toujours des aides matérielles pour arriver en haut.
L’architecture particulière de cette partie de Séoul est vraiment très photogénique et je ne me suis pas privé de faire un peu de travail en postproduction pour faire ressortir le tout.
Mais la réelle beauté de cette promenade passe aussi par la découverte de temples isolés dans la montagne et par la vision extraordinaire qu’offre les falaises abruptes de la montagne.
Il n’y a pas de passage réellement vertigineux. Moi qui suis un ancien du vertige et qui ai parfois des réminiscences dans les endroits dangereux, j’ai eu plus l’impression de m’amuser qu’autre chose. Voici le passage le plus « difficile ». J’ai vu plusieurs grand-parents l’emprunter !
Après environ deux heures de montée et au bout d’un interminable escaliers qui finit de saper vos forces motrices et pulmonaires (comme souvent dans les monts coréens), on arrive à la vision parfaite: le Dobongsan avec Séoul en arrière plan. L’effort en vaut vraiment la peine !
En redescendant sur l’autre versant direction Séoul, on aura même la chance de pouvoir admirer un des petits temples nichés dans la montagne, et ses décorations colorées.
Voici pour finir un coréen bien équipé, comme on en croise dans tout le pays. Les coréens sont effectivement un peuple de marcheurs. Je me serais cru en Valais !